Rencontre étrange

Chris qui airait en pleine nuit en sous bois non loin de Brest ,par ce froid polaire hivernal ! La fatigue plus le gel le mettait a mal souffrant de gelures a l'extremité de ses doigts parcourait cette immense forêt, nuit de pleine lune ,nuit des loup garou sans doute ! Mais point de jappement en cette nuit de loup ,la harde devait être en chasse non loin après des chamois ou des chevreaux en mal de faim .Soudain en cette lune si claire une ombre furtive lui passa non loin de ses yeux ! mais était ce qu'une vision étrange qu'il avait déjà eu en bretagne ? puis au loin les aboiements caractéristique d'un chevreuil en souffrance dans cette nuit sans bruit ! Chris ce rapprocha de l'animal en souffrance quand il cru appercevoir encore une fois cette maudite corneille dans un arbre !

L'animal qui aboyait fut vite retrouver par son chien c'etait bien un chevreuil ,la pauvre bête agonissait dans une marre de sang Chris regarda l'animal qui portait deux marques dans son coup tel les crocs d'un loup égarer qui fut éffrayer laissant la sa proie facile en entendant le bruit de son cheval ....

Chris laissa l'animal pas besoin de s'embarassé d'un chevreuil de toute façon demain il serait geler trop dur a dépecer ,mais cette corneille commençait a l'agacer d'ailleurs il l'avait perdu de vue ........

Le jeune homme brun continua son chemin dans cette nuit , quand soudain son chien ce mit a grogner!Son cheval commença a devenir subitement plus sur de lui même ! sentaient un danger tout les deux ! Chris chercha autour de lui rien a l'horizon ,il scruta le ciel rien dans le ciel ,ni dans les arbres . Point de corneille non plus ,c'était quand même étrange cette sensation et la réaction soudaine de ses fidèles compagnon de route ...tombait, inexorablement, lentement, sans émotion particulière sur le trajet emprunté ni sur ce qui s'y trouvait, gardant sa course rectiligne, sans dévier d'un poil, fardé de couleurs irisés, visant la cible au bout d'une course qui lui serait fatale.

A ce moment là, yeux grands ouverts louchant sur un nez à essayer de déceler une ultime trace de cette vie éphémère. Le regard se porte un peu plus haut sur la verdure.Les brumes de l'incompréhension, à l'instar de l'obscurité dont la vaillance vacille, se dissipent lentement, laissant deviner au dessus de sa tête un toit tout ce qu'il a de plus incongru. De plus en plus abasourdie, Le susdite se tâte le crâne -tiens, curieux!- pas de bosse, pas de bobo si ce n'est une migraine lancinante qui lui vrille les tempes. Douleur... étonnement... et interrogation s'ensuivi.Étrange ces sentiments.Du blanc au noir, de la lumière aux ténèbres chaotiques les souvenirs basculent avant de continuer son funèbre voyage,La noirceur des lieux ne donnait guère envie de passer, mais lui était la, attendant patiemment une proie. Tout comme un chasseur serait en train de guetter son gibier. Des craquements retentissaient dans tous les coins et le froid des nuits bretonnes se faisait ressentir. Assis contre un arbre taillant un morceau de bois avec sa dague, il regardait autours de lui avec le plus grand calme. Ce calme ressemblait à celui que l’on pouvait avoir avant une tempête. Sans grand mouvement il déposa l’objet tailler à ces pieds et fit un signe de ses doigts à destination du néant, ce noir qui se projetait partout autours de lui.

Elle avait lancé son cri sans réfléchir et,Chris la dague ramassée au sol tenu fermement par la poignée dans sa senestre, il accéléra l'allure vers l'ombre qui s'était brusquement retournée. Un deuxième Hé fut lâché, plus doucement, comme une ancre pour que le navire n'avance plus, et la s'arrêta à portée de main de la femme. Le choc fut rude et immédiat. Si lui avait fait penser, il y a quelques minutes, à un balafré de la vie, c'était une plaie encore bien béante et vivace qui la dévisageait d'un regard plus que méfiant, son regard marqué par les ans tout autant que sa peau.

N'avance plus. Elle comprit le message sans que les lèvres n'eurent à former les mots, et bien qu'elle ne ressentît aucune peur en cet instant, elle fit un léger pas en arrière sans détourner ses noisettes. Il y avait quelque chose de farouchement hostile dans le visage qui lui faisait face. Et de tourmenté. Depuis qu'elle avait fait volontairement couler le sang d'une innocente bestiole, qu'elle avait fait souffrir et qui avait pourtant toujours été le centre de son existence, savait non seulement reconnaître les torturés de la vie dans ses semblables, mais ressentait une irrémédiable attirance vers eux. Et davantage encore si ce n'était pas un homme.

La main gauche de l'inconnu brilla fugacement, et la elle baissa son regard vers l'origine de l'éclat. De là où elle se tenait, elle était incapable de distinguer les détails de l'anneau qu'elle remarqua, mais l'image d'un serpent est celle qui lui vint immédiatement à l'esprit et elle grimaça instinctivement de haine. Relevant les yeux tout en faisant taire ce qu'elle ressentait . lui donnait cette étrange impression d'être en territoire familier, lui rappelant celle qu'elle a été et qu'elle aurait pu devenir, et la ramenant immanquablement vers l'inoubliable souvenir d'une rasée qu'elle ne pouvait chasser de son esprit. Un instant, elle oublia ses charges et ses responsabilités, pour n'être plus qu'une jeune femme libre telle une diablesse !
Sa virée était oubliée. Il n'y avait plus que cette rencontre fortuite, ici et maintenant. Le geste de la main se fit plus pressant et le regard plus incisif.Sans dire mot elle pensa tout haut "Qui es-tu, le solitaire? "
Des mèches corbeau s'étaient une à une échappées de son chignon de fortune, jusqu'à la délivrance de toute sa crinière. L'air sauvage n'était pas voulu, mais en se retournant vivement pour reprendre sa route, la masse sombre vint fouetter le visage de sa jeune proie visiteuse. IL avait eut le temps de la dévisager, et en garda une impression étrange mais ne l'avait plus helas pour faire des manières.
Sa nuit avait été longue, longue et terrible. Ses vêtements partiellement déchirés attestaient de l'humeur avec laquelle elle avait accueilli ce contretemps..
Un souffle d'air lui caressa doucement la joue quand les cheveux lui balayèrent le visage. Aucun parfum ne s'en dégageait mais ce simple geste involontaire la décrispa étrangement. L'inconnue s'éloignait, emportant ses mystères avec elle, et laissant légèrement désemparé de son absence de réaction. Et maintenant, je fais quoi? J'te regarde partir? J'te suis? Pourquoi tu n'as pas dit un mot? Frustré et sur sa faim, Il réalisa que ce qui l'énervait le plus était l'absence d'un quelconque intérêt que l'inconnue n'avait même pas fait semblant de lui porter. Touché et dans son ego et dans la non satisfaction de sa curiosité originelle,il fit un pas en avant et reprit sa filature. Il n'était plus question d'abandonner du regard l'inconnue qui avait accéléré le pas. Et peut-être même allait-elle trouver un moyen de la provoquer et l'obliger à lui parler. tentait de réfléchir tout en courant pour réduire la distance, jusqu'à n'être plus qu'à quelques pas de la femme. Elle s'en fichait d'être repérée, là elle ne cherchait pas du tout à se rendre discrète. C'était elle le prédateur maintenant, même si elle ne voulait pas de mal à la proie qu'elle venait de choisir.Les bêtes traquées ont-elles le sens de l'humour?Et la bête a jailli, presque comme prévu Toujours est-il que cette réaction due davantage à sa nature qu'à son instinct de survie l'empêcha de trop souffrir .Le mouvement brusque par contre, opérée par l'inconnue lorsqu'elle chercha à se cacher, l'entraînant avec elle, lui fit douloureusement tourner la tête et il grimaça pour contenir mentalement les battements dans sa boîte crânienne. Peine perdu elle disparut dans les airs telle une corneille emportant avec elle ses secrets ,Chris n'avait plus qu'une vision étrange mais pas le souvenir de la reconnaitre hélas pour lui ,lui avait t'elle jeter un dernier sort ! sa nuit fut des plus agitée la reverra t'il ,sans rappellera t'il .Puis une pensée lui vint a l'esprit "Les fleurs du mal ne poussent pas dans un jardin"a présent il savait que cette Corneille qui l'épiée pouvant ce transformez en être étrange mais laquelle ? la mort n'est pas une fin en soi
La morphine allège mon âme et les bruits se fanent. Je m'endors...Le réveil est un cauchemar. , injuste, qui rejette les plus faible et paradoxalement, on m'oblige à rester en vie. Mais quelle vie? L'essence même de la vie n'est plus? je n'arrivent plus à vivre en communion avec la nature. Nous sommes en enfer. La mort est simple.C'est une renaissance dans un monde meilleur. Je veux y croire...... ça m'apèse.Il fait si noir dans le noir il fait si chien dans la nuit, ça vous colle aux dents, la suie, ça désespère l'espoir ?

Les yeux sombres de la Diablesse se laissent porter au fil des flots calmes de la forêt, entre les remous qui se perdent et les affluents qui se créent. La forêt dort, lové dans son lit de neige opaque s'est abreuvée des milles petites rivières que les dernières pluies ont fait serpenter dans la campagne Bretonne ces derniers jours. Son regard suit les lignes diffuses boueuse... Effacer l'erreur. Le courant avait accepté le corps meurtri de Chris , l'emportant loin des yeux impurs la diablesse à jamais. Les eaux froides en avaient vu tant d'autres, ultime contact avant le saut de l'ange.mais comme l'enfant est fasciné de la flamme.
Depuis ce jour fatal, Chris s'est trainè, chassant avec grand peine le souvenir tenace de la présence condamnée. Personne ne savait, personne ne jugerait. Sauf lui, lui pour qui elle ne lève plus les yeux aux cieux. Pourquoi ne pas l'avoir remis à la terre, peut-être pour ne pas avoir à connaitre le lieu où git l'inexplicable et impardonnable. Pas de tombeau sur lequel étendre ses plaies béantes, pas de sépulture à regretter, pas d'édifice pour lui rappeler ce qu'il ne veut. Seuls les azurés avaient été inquisiteurs, bien que les lèvres closes. Il était venu le grand brun , et il n'avait pas profané le secret. Puis cette voix qui raisonnait dans sa tête « Change de route étranger, rends toi au village et poursuit ton chemin. Laisse moi partir, ne me suis pas » la confusion était totale pour lui n'est ce pas elle qui le suivait depuis son arrivée en Bretagne ! que lui voulait t'il lui l'aventurier ,le vagabond qui parcourt le royaume pour seul plaisir la chasse et rendre service .Pourquoi lui avait -elle choisit comme cible alors qu'elle lui voulait pas du mal ,l'attirance était -elle mutuelle telle une complicité ,il aimait l'étrange ,la découverte ,et pourquoi lui avait t'elle demander de ce rendre au village de Brest ,que cela ce signifiait 'il ! Qui avait 'il la bas , peu être une partie de son secret qu'elle avait bien gardée pour elle !le voyait il en une âme bien vaillante ,ou en fleur du mal !tant de questions parcourait la tête de Chris ! "Je m'efforcai de ne plus penser à elle, par cela même, ne pensant qu'à elle" Elle avait réussi a le faire douter de lui même .Sans doute avait t'elle une âme charitable au fond de son coeur !Chris toucha son pendentif dans sa poche histoire de reprendre ses esprits qui devenait confus ,mais il était pas une personne a renoncer facilement devant ou plutôt quelque chose qui l'attirait tel un aimant ,surtout qu'a présent il savait qu'elle existait ,mais a présent le plus difficile pour lui serait de trouver son secret et qui elle était ? "Ce qui chagrine n'est pas de quitter la vie mais de quitter ce qui lui donne un sens". A présent il savait qu'il avait arrivé dans l'au delà de lui même découvrir autre chose et ça commençait a le fasciner découvrir ,des choses que seul les prêtes parle de Satan ou de Diablesse .Lui ne connaissait ceci que par mes manuscrits ou des contes satanique !!! Peu être qu'il percerait se secret une fois a Brest ?,